Khaled Kelkal était un Franco-Algérien né le 29 novembre 1971 à Mostaganem, en Algérie. Il est connu pour avoir été un terroriste et membre actif du Groupe Islamique Armé (GIA), un groupe islamiste armé qui a mené des attaques terroristes en Algérie pendant les années 1990.
Kelkal a grandi en France, dans la banlieue de Lyon, où il a obtenu la nationalité française. Il a d'abord mené une vie normale, travaillant comme ouvrier dans une entreprise. Cependant, à un certain moment, il a été radicalisé et a commencé à être influencé par l'idéologie islamiste extrémiste.
En 1995, Kelkal a été impliqué dans une série d'attentats en France, dont la plupart étaient dirigés contre des cibles publiques. Il est soupçonné d'avoir participé à des attaques perpétrées au nom du GIA, notamment l'attentat contre la station de RER à Saint-Michel à Paris, qui a fait huit morts et des dizaines de blessés.
Après une cavale de près d'un mois, Kelkal a finalement été capturé par les forces de l'ordre françaises le 29 septembre 1995 dans la forêt de Maure. Cependant, lors de son arrestation, il a tenté de résister et a été tué par les policiers. Sa mort a suscité des débats en France sur les conditions d'arrestation et de traitement des terroristes présumés.
Khaled Kelkal est devenu un symbole des attentats terroristes perpétrés par des islamistes extrémistes en France. Son cas a mis en évidence l'importance de lutter contre le terrorisme et de prévenir la radicalisation, ainsi que les défis auxquels sont confrontées les sociétés multiculturelles et les démocraties libérales pour intégrer avec succès les populations issues de l'immigration et améliorer la cohésion sociale.
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